George Sand,
La fée aux gros yeux.
Lasse d’entendre des inepties à courte vues et criardes, je tournais la tête vers la scène quand, tout à coup – en lieu et place du tohu-bohu-bohu habituel, je perçus une mélodie - le charme intense du piano de Benoît Chantry et de l’Oud de Ziad, livré avec douceur à la conscience de l’auditeur.
Ecoutons… Tweet Follow @LParlant Tweet #lech%C3%AAne Tweet to @LParlant
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