La lumière doit-elle toujours
émaner du ciel ? Et les diamants sortir des lézardes profondes ?
Parfois une petite lueur posée au
vent futile d’un hit-parade... Parfois sur le miroir convenu des top-musiques,
plane d’étranges reflets. Un chemin bordé de lampions légers… Autant d’éphémères volant au-delà de la
chaussée de soi. Certes, le rythme est un peu convenu. Certes la voix a des
tonalités déjà vues. Mais de la rapidité des rythmes coulent de belles
fluidités. Autant de chants soufflés à mille voix. Une brise abandonnée à l’air
connu des environs légers. Une évasion posée au coin des matines ensoleillées.
De celles qui font sourire les béats tel l’amour posé au coin des lèvres
nouées.
On
ne peut jamais sceller le beau au sel de la bizarrerie
Parfois,
de l’évidence des rythmes connus émerge le clair horizon des lueurs champêtres.
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