Derrière le silence, sous la
brièveté d’un regard à peine posé. Derrière l’impensable, sous l’imperturbable,
au fin fond d’une tonne de distance toujours cette fausse légèreté … Un
espace sans doute trop grand pour être traversé. Et pourtant enfoui, au plus proche, au fond de soi, c’est étrange,
comme une pierre en poche, au sable des proximités. Il y a quelque chose à te dire
de ce petit sentiment. Imperturbable et léger, placé à égale distance du
vertige et de l’hiver. Et il y a quelque chose à crier sous le froid mélange de
la présence et de l’absence. Comme la pierre scellée sur le marbre impassible des
destins sidérés.
Voilà qui est dit.
RépondreSupprimerYesss !
SupprimerJe suis contente de retrouver ton site. Il y a toujours de très bonnes surprises et de la qualité. Je suis en train de "mettre le mien au propre" et m'aperçois que je n'ai plus ton adresse. La mienne est moussy.bernadette@gmail.com
RépondreSupprimerCe n'est pas toujours facile de mettre son travail à jour au fur et à mesure.
Bien à toi. Bernadette Moussy
silapedagogie m'était contée.
Bonjour Bernadette,
SupprimerRavie d'avoir de tes nouvelles ! J'ai un peu "lâché" la mise en ligne de mes cours, me consacrant davantage à ma thèse (un travail de longue haleine) ! J'espère que ton site continue à prospérer comme il se doit. On y trouvait nombre de références prodigieuses. Je t'écris prochainement.
Je t'embrasse, bien à toi,
Virginie